mardi 23 janvier 2018

La médecine de famille fait son apparition chez les politiciens marocains

Le président du Rassemblement national des indépendants (RNI), Aziz Akhannouch, a présenté, samedi 20 janvier à Oujda, la feuille de route de son parti concernant les réformes «prioritaires» à entreprendre au niveau de la santé, de l'éducation et de l'emploi. Les détails.

Pour l'emploi, Aziz Akhannouch a insisté sur l’importance de «repérer les secteurs créateurs d’emploi et qui sont capables d’accueillir les jeunes diplômés universitaires» et le secteur qui remplit ces conditions est celui des Services, notamment le tourisme, l’artisanat et les services de proximité ,le parti va défendre un changement radical dans le système de la formation professionnelle fondamentale et continue au Maroc», a ajouté Akhannouch, affirmant que le Maroc est «aujourd’hui sur la bonne voie pour relever le défi de l’industrialisation» ,pour lui, il est temps que ce scénario soit calqué sur d’autres secteurs tels que le textile, l’agroalimentaire, l’offshoring, l’aéronautique, les transports et l’économie verte.

Éducation : comment stopper l'hémorragie :

A propos de l’éducation, le RNI insiste sur la nécessité de lutter contre  l’abandon scolaire, considérant que la place des enfants de moins de 15 ans est soit à l’école, soit en formation professionnelle. Il appelle ainsi à généraliser l’expérience des écoles communales dans l’ensemble du monde rural.

Santé :

Et finalement , pour ce qui est de la santé, le président du RNI estime que la première étape pour réformer le secteur passe par la maîtrise du circuit de soins, à travers la mise à disposition de centres de santé de proximité, notamment dans les zones rurales, car la plupart des patients parcourent des kilomètres pour arriver à l’hôpital alors que leur cas ne nécessite pas d’intervention d’urgence, le RNI recommande que l’hémorragie soit stoppée à partir de ces centres de santé. Le système du médecin de famille est également une des propositions avancées par le parti.

La guerre du couscous

Les sujets qui fâchent entre l’Algérie et le Maroc ne manquent pas , Aussi ne s’étonne-t-on pas qu’une guerre éclate entre les deux pays. Elle a même commencé. Mais elle est d’un genre surprenant, et même sympathique : la guerre du couscous ! Alors qu' il y'a plus d un an le Maroc et l'Algérie se disputaient la paternité du couscous a l'UNESCO,   aujourd'hui ils ont décidé de classer le dossier du couscous en tant que patrimoine universel est un projet commun aux pays du Maghreb », a déclaré Slimane Hachi, le directeur du Centre algérien de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH), à l’agence de presse d’Etat algérienne APS.
Le montage de ce dossier est en cours et des réunions d’experts culinaires , histoires  de ces pays se tiendront prochainement
Une fin heureuse , le couscous est finalement maghrébin ( Mauritanie , Maroc , Algérie,Tunisie , Lybie) .

vendredi 19 janvier 2018

Hold-up. .. La queue du dinosor


D’une longueur de 4 mètres pour 180 kilogrammes, la queue d’un dinosaure marocain découverte au Maroc , selon les organisateurs de cette vente, la queue appartenait à un Atlasaurus, qui signifie reptile de l’Atlas, un dinosaure sauropode du Jurassique. L’agence de presse anglaise Reuters, avait précisé que les paléontologues marocains ont pris 300 heures pour nettoyer les restes gigantesques du reptile, avant que les scientifiques de l’Utah ne les reconstituent.

Selon l’organisateur de la vente Morton’s Auction House, ce fossile sera vendu à un prix réserve de 95.805 $ (1,8 million de Pesos mexicains), comme le rapporte la même source, les fonds récoltés serviront à la reconstruction de 5.000 écoles endommagées par les deux tremblements de terre de septembre dernier qui ont fait plus de 480 morts, apprend-on auprès de Reuters.

Un homme d’affaires mexicain, qui a demandé l’anonymat parce qu’il ne voulait pas de publicité, a acheté le fossile pour sa collection dans des circonstances inconnues, indique l’agence de presse anglaise.

Le ministre de l’Energie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah, dans un entretien accordé à l’agence de presse espagnole EFE, a fait savoir que le gouvernement marocain enquête actuellement sur « la véracité de l’information », afin de savoir si la queue du dinosaure mis aux enchères provient réellement du Maroc. Avant d’ajouter que si cette information s’avère vraie , le gouvernement ouvrira une enquête afin de savoir comment cette queue  a quitté le pays.