vendredi 2 mars 2018

Razzia un film a la limite de la science fiction


Une razzia, c’est s’accaparer ce qui ne nous appartient pas », nous explique Nabil Ayouch et c'est exactement ce que voudrait faire le réalisateur . A travers son nieme film le realisateur essaie de faire passer un message ou des messages aux impacts sur la société seraient dévastateurs,  défendre le légitime mais aussi l'illégitime au même temps pour que ça passe , dans le film il s'agit de cinq destins qui hantaient le réalisateur et son entourage  le film raconte un Maroc standard qui ne veut pas bouger . Le tournage à Casablanca, entre le passé et le présent,   Ouarzazate et dans les montagnes de l'atlas . Il met en scène plusieurs personnages qui ont pour lien un instituteur ayant enseigné dans une petite école d’un village amazigh de l’Atlas en 1982. Entre le Maroc des années 1980 et celui d’aujourd’hui, Nabil Ayouch et sa compagne portent à l’écran ces destins entrecroisés dans le Casablanca qu’ils affectionnent tant , je dirais qu' ils méprisent,  tout ça paraît vrai , mais dans la réalité , le Maroc que je connais , la langue tamazight est enseignée , reconnue par la constitution comme langue officielle  et en ascension dans les médias,  une langue qui nous est chère à l'image de l'arabe l'autre langue officielle et un patrimoine culturel commun des marocains , le judaïsme est respecté et il fait partie de notre identité et celle de l'histoire du pays contrairement aux clichés que voudrait nous présenter ayouch qu' on est une société antisémite, le 1/4 de mes voisins seraient juifs de confession avec qui on partage les mêmes   droits et devoirs,  puis ils parlent des mères célibataires et des conditions des femmes modernes , j'ai toujours vu les femmes de mon entourage faire des études,  travailler , payer même mieux que les hommes et dans la société on les trouve dans des postes de responsabilité,  des chefs d'entreprises , des médecins , des ambassadrices , des ministres , ayouch voulait il vraiment parler du Maroc ou d un notre pays , je ne retrouve pas la société marocaine dans son film , voudrait il juste attaquer le pays pour faire le buzz sans réel fondement , il exagère on dirait que ce n'est guère Casablanca mais plutôt kabul ... a suivre

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